Bio, Label rouge, AOP, pêche MSC… Les labels alimentaires, publics ou privés, intègrent pour la plupart des éléments concernant la protection de la biodiversité, mais de façon inégale et souvent lacunaire. De plus, l’impact réel de leurs cahiers des charges, donc des pratiques de production, est difficile à mesurer. Néanmoins, certaines certifications, en particulier le bio, se distinguent. C’est en substance ce que conclut une étude conjointe Inrae-Ifremer publiée en avril 2025.
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