Devant l’ampleur du scandale et la persistance d’un trop grand nombre de véhicules encore équipés d’airbags Takata défectueux, le ministère des Transports a enfin décidé d’encadrer, mais a minima, les rappels assortis d’un « stop drive » (arrêt de circulation) en signant un arrêté imposant de nouvelles obligations aux constructeurs automobiles. L’enjeu : prévenir tous les propriétaires concernés et accélérer le remplacement de tous les équipements dangereux. Des sanctions financières ont enfin été infligées.
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